Pourquoi l’île Maurice séduit les étrangers
L’île Maurice accueille chaque année plus de ressortissants étrangers et de touristes pour de nombreuses raisons : son climat tropical, ses plages magnifiques, sa situation politico-économique stable, sa législation favorable aux investissements immobiliers constituent les principaux attraits de cette petite île de l’océan Indien.
Longtemps dominée par l’industrie sucrière, elle innove aujourd’hui dans d’autres secteurs comme les services financiers, le secteur des BPO, le tourisme et l’immobilier.
Ces facteurs rendent Maurice fortement attractive pour les investisseurs étrangers.
Depuis 2006, Maurice affiche une croissance économique comprise entre 3 % et 5,9 %. Le secteur du touristique y est pour beaucoup grâce à une hausse annuelle de 10 % des arrivées, soient plus d’un million d’arrivées touristiques annuellement.
L’institut de recherche New World Wealth a décrit dans un rapport récent l’arrivée de richesses à Maurice : le nombre de millionnaires ne cesse d’y augmenter depuis 2000 : une augmentation de plus 340 % a été enregistrée sur la période ce qu fait de Maurice une des 5 destinations les plus attractives mondialement sur ce critère.
Côté immobilier, la souplesse de la législation locale attire de plus en plus d’étrangers désireux d’investir dans un bien immobilier. Ces acquisitions peuvent permettre d’obtenir un permis de résidence permanent à partir du moment où l’acquisition a un prix minimum de 500 000$. Le projet Mont Choisy le Parc de Pam Golding atteste du succès du marché de l’immobilier mauricien : 220 unités (villas et appartements) ont été vendues pour un prix total de 250 millions de dollars. Des plus-values de 25% ont été réalisées en seulement 2 années sur les reventes de ce projet.
Le projet Ki Residences à Grand-Baie propose lui un prix d’entrée de 286 000 € pour un appartement incluant 2 chambres à coucher et 2 salles de bains.
Toujours selon New World Wealth, les tarifs du foncier mauricien ont cru de 6% en 2016 et cette augmentation pourrait atteindre 40 % d’ici 10 années.
